Thomas Portes sur Al-Jazeera Arabic.
Pas un mot sur les 48 Français assassinés par le Hamas.
Pas un mot sur les otages.
Mais un récit rodé, calibré, où Israël est toujours coupable, et le Hamas toujours invisible.
À gauche, on dit que critiquer Israël, c’est un devoir.
Très bien.
Mais alors, pourquoi ne pas appliquer ce devoir aussi à ceux qui décapitent, violent, brûlent ?
Ce n’est pas de la défense des droits.
C’est une stratégie.
Et c’est ainsi que l’on prépare les émeutes de demain.
Voire… le sang d’après-demain.
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